Alors que les chiffres baissaient dans tout l'hexagone, un variant s'invite pour les vacances ...

La vaccination était une promesse de retour à la normale ...

L'arrivée du fameux variant Delta risque de réduire le retour à une forme de normalité bien plus compliqué !

En effet, dans le monde,  il y a encore peu, on assistait à un net recul de la pandémie et la propagation d'une variante du virus COVID vient bouleverser l'espoir ...

Israël revoit ses mesures de restrictions ...

L'Australie reconfine Melbourne, sa seconde ville du pays pour au moins 6 semaines ...

Le Portugal et à Lisbonne refixe des mesures de restrictions et limite l'ouverture des restaurants jusqu'à 15h30 le week-end ...

Ce nouveau variant Delta serait déjà présent dans 85 pays d'après l'Organisation Mondiale de la Santé !

En France, il est maintenant devenu majoritaire.

Déjà, l'annonce d'une 4ème vague se fait ressentir !

Pourtant, le virus semble avoir toujours un coup d'avance et sa grande mutabilité favorise sa propagation et sa résistance ...

Au-delà de l'aspect pandémique, il faudrait étendre la réflexion sur ce qui peut produire cette pandémie ...

Notre mode de vie et la façon dont nous contraignons la nature semblent être directement responsables de cette situation !

Alors, il est plus que temps d'avoir une réflexion globale et les états du monde devraient s'unir afin de prévenir au maximum ces dérèglements.

Voir :

https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/01/13/la-pandemie-a-mis-en-evidence-le-lien-entre-destruction-de-la-nature-et-menace-sur-la-sante-humaine_6066048_3232.html

https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/pandemie-ere-pandemies-ne-fait-elle-commencer-80160/

https://www.bastamag.net/covid-vengeance-de-la-nature-biodiversite-pathogenes-surconsommation-specificite-humaine-Virginie-Maris

Pat

Ils étaient 200...

200 pauvres rats à qui on a fait manger du maïs transgénique NK603 et boire du Roundup, herbicide de la société Monsanto !

Bien sûr, aujourd'hui, les médias nous parlent plus des répercussions de la nouvelle, après sa publication dans une revue américaine "Food and Chemical Toxicology" que du sort peu enviable de quelques rats...

Pourtant les vidéos nous montrent des pauvres créatures bien affligés ! link

Au 13e mois de l'expérience, on découvre avec horreur des tumeurs énormes, chez des femelles ces tumeurs mammaires peuvent même atteindre 25 % du poids du cobaye !

Les rats nourris aux OGM développent 2 à 3 fois plus de tumeurs que les autres rats témoins.

Au bout de 24 mois et à la fin de leur courte vie, de 50 % à 80 % des femelles rats sont touchées contre 30 % pour les femelles nourries autrement.

L'étude du professeur Gilles-Eric Séralini est maintenant constestée.

Ce professeur de biologie moléculaire de l'université de Caen n'aurait pas suivi un bon protocole !

Dans ce procès qui lui est fait que fait-on du principe de précaution ?

Le Haut Conseil des Biotechnologies (hcb) demande une étude indépendante.

Pour l'ANSES link, l'Agence Nationale Sanitaire de Sécurité de l'Alimentation, il faut une étude sur les effets à long terme, mais faut-il attendre encore, comme pour l'amiante...

La santé publique pèserait-elle moins que les enjeux économiques et financiers de grosse société comme Monsantolink ?

Voir aussilink

Espérons que le bon sens l'emportera pour le bien de tous et pourquoi passer par un vrai débat public...

Pat.

L'HOPITAL

Un monde sans pitié

Ecrit à deux mains, cet ouvrage de 256 pages, paru dans l'Edition, Collectiion : Témoignages et Documents, nous offre une analyse précise de l'univers des hôpitaux français.

Claire COMPAGNON, Directrice générale de l'association AIDES link et Thomas SANNIE, Vice-président de l'Association Française des Hémophiles (AFH) link, détiennent tour à tour une bonne connaissance de l'univers médical.

Ils nous proposent un document significatif divisé en deux parties :

                - Un hôpital en quête d'humanité

                - Des propositions pour changer l'hôpital

Est-ce à dire qu'il y a matière ?

Nous avons tous lu, entendu ou voir, nous avons pu être confronté, un jour, à une certaine réalité dans l'hôpital...

Soin express, maladies nosocomiales, attente qui n'en finit plus, brancards alignés dans le couloir, manque de respect de l'intimité des patients, infantilisations du malade, prise en charge de la douleur insuffisante, sonnette que l'on arrête pas d'actionner...

La liste pourrait ainsi être longue, hélas...

Bien sûr, il ne peut s'agir de remettre en cause le travail, souvent exemplaire, du personnel soignant !

Ce dernier, dévoué et consciencieux, fait selon ses moyens et ses effectifs aussi !

Pourtant, la relation soignant/soigné pourrait toujours être améliorée.

Quand on est malade, on ne l'a pas choisi...

On ne choisit pas non plus sa médecine !

Le malade est une personne et pas seulement un numéro sur une carte Vitale...

L'associer plus au processus de soin, peut aller dans une amélioration de la relation patient/soignant mais aussi s'inscrire dans la dynamique de guérison et ainsi être profitable à tous !

La santé, si elle est l'affaire des spécialistes, elle est aussi l'affaire du malade avant tout...

Pat.

La science avance et nous avec ...

Une étude menée par le Centre International de Recherche sur le cancer (CIRC) de Lyon, révvèle qu'un cancer sur six est lié à une infection d'origine virale ou bactérienne.

Les travaux montrent aussi que l'ensemble des cancers pourraient ainsi être évités par des actes de prévention et des traitements adaptés, parfois assez simple, comme le frottis, la vaccination, ...

Présentée dans un premier temps, dans la revue Lancet Oncology link, cette étude précise en outre, que les cancers d'origine infectieuse représentent 16% de tous les cas de cancers !

Ces résultats sont l'aboutissement de l'observation de près de 13 millions de nouveaux cancers touchant des populations réparties sur l'ensemble de la planète.

Chaque année, on découvre 2 millions de nouveaux cancers directement liés à une infection bactériennes ou virales !

Les cancers les plus importants sont ceux du foie link, de l'estomac linket de l'utéruslink .

On croyait que le cancer concernait plutôt les pays développés, mais l'étude précise pourtant de grandes disparités (voir les liens ci-dessous).

En effet, grâce aux moyens mis en oeuvre notamment dans la prévention, les pays riches se préservent mieux !

Pour plus d'informations, consultez les liens sur le sujet :

link

link

link

link

 Il est toujours plaisant de saluer des résultats en matière de recherche et particulièrement lorsque que cette dernière consiste à sauver des vies !

Bien sûr, il reste à offrir à tous les mêmes soins mais dans ce domaine, beaucoup reste à faire ...

Pat.